Un fils d’esclave qui devient propriétaire d’une distillerie au début du 20ème siècle avec un moulin en bois à Capesterre de Marie-Galante et qui commence une saga familiale qui se perpétuera jusqu’en 1987. Et ce malgré le cyclone de 1928 qui détruit tout, les guerres mondiales et autres péripéties du siècle dernier, on pourrait croire à un feuilleton à l’américaine. Pourtant, ça s’est bien passé à Marie-Galante. Dès 1906, Joseph Toto achète 11 hectares d’une habitation vivrière, y installe une siroterie qui va devenir la Distillerie le Salut. C’est le fruit du travail de la Famille Toto à Dugay dans les hauts de Capesterre. Rhum Monbin, rhum goyave, pains de sucre étaient issus de cette petite unité dont on ne sait plus grand chose mais qui mériterait d’être remise au goût du jour. Joël Toto, un entrepreneur qui n’appartient pas à la même famille Toto, a fait des recherches ces dernières années afin de reconstituer la saga familiale des propriétaires de la Distillerie Le Salut. Il en a même fait un stand sur le Kann’Spirit. Une cuvée mémorable a été mise au bouteille en collaboration avec une distillerie locale, tirée à moins de 500 exemplaires. Visite de la Distillerie Le Salut à Dugay en compagnie de Joël Toto
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