Ce lundi 26 décembre, peu avant 19h, non loin de Grelin, sur la route de Grand-Pierre, un drame de la route s’est joué et un scootériste de 22 ans est malheureusement décédé des suites d’une collision avec une voiture. La conductrice du véhicule est âgée d’une vingtaine d’années.
Sur la D201, alors que la route se courbe et se bombe avant de descendre vers Saint-Louis, à cet endroit, les lumières des décorations de Noël des maisons du secteur illuminent la campagne habituellement tranquille. Les voitures dont certaines en feux de détresse s’alignent au fur et à mesure le long de la chaussée. Les lumières des véhicules d’assistance aux victimes des pompiers et des gendarmes finissent le cortège des lumières. Celles-ci moins annonciatrices de bonnes nouvelles en règle générale. Les gendarmes s’affairent à marquer à la bombe orange l’emplacement de chaque élément, à les photographier. Un drame vient de se dérouler et la circulation est encore coupée quand Foufougong se rend sur place.
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Une publication partagée par Foufougong (Stéphanie Sérac) (@foufougong)
Une scène impressionnante
Les restes du scooter sont éparpillés sur toute la chaussée dans un mouvement qui en dit long sur le choc, sa violence. La carcasse se trouve sur la gauche dans le sens de circulation en direction de Saint-Louis et à une vingtaine de mètres du scooter, en contrebas, le corps du scootériste est recouvert d’un drap blanc, sur la bordure droite de la chaussée. C’est celui d’un jeune d’une vingtaine d’années. Un corps sans vie. Casqué, polytraumatisé, le jeune homme n’a eu aucune chance. Dans la montée roulant en direction de Grelin, la petite voiture conduite par une jeune femme de 20 ans, est dans un état lamentable. Le pare-brise et même une partie du toit du véhicule ont été enfoncés sous la force du choc. L’airbag s’est déclenché et la conductrice souffre de blessures à la lèvre inférieure et de légères brûlures aux membres supérieurs. Il y a deux autres passagers. Une jeune fille de 17 ans, indemne, et un jeune homme de 22 ans souffrant d’une douleur au genou.
« Il roulait sans lumières et se trouvait sur ma voie. Je n’ai rien pu faire », livre dans un souffle la jeune femme, prise en charge dans le VSAV des pompiers. La gendarmerie en charge de l’enquête est encore au début des investigations et a refusé de s’exprimer. Un témoignage parvenu à Foufougong parle d’un jeune homme discret, respectueux, travailleur.
Sur place, les décorations de Noël qui continuent de clignoter tranchent avec les expressions éteintes des badauds et des proches des impliqués.
Toutes nos condoléances à la famille et aux proches endeuillés.
PRUDENCE SUR NOS ROUTES!
PRÉVENTION !
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Merci pour votre article factuel.
Il est important de connaître les faits pour que la mort de Claudie serve à à éveiller les consciences.